Des psychanalystes :

Sigmund Freud : « L’interprétation des rêves », PUF, 2002

    « La Technique psychanalytique », PUF, 1992

               « L’Inquiétante étrangeté », Gallimard, 1985.

               « Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse », Gallimard, 1984.

               « La question de l’analyse profane », Gallimard, 1985.

    « Pourquoi la guerre ?», Albert Einstein et Freud, Rivages, 2005.

                « L’Analyse avec fin et l’analyse sans fin », Résultats, idées problèmes, tomme II, PUF, 1985.

    « Le Moïse de Michel Ange » in Inquiétante étrangeté », Gallimard, 1985.

               « L’homme Moïse et la religion monothéiste », Gallimard, 1986.

               « L’Avenir d’une illusion », PUF, 1971

               « Correspondance avec le pasteur Pfister », Gallimard, 1963

               « Ma vie et la psychanalyse », Gallimard, 1950

Bruno Bettelheim, « Freud et l’âme humaine », Robert Laffont, 1984

Sandor Ferenczi, « Journal clinique », Payot, 1985

Edmund Gomez Mango et J.B. Pontalis, « Freud avec les écrivains », Gallimard, 2012

Harold Searles, « Le contre-transfert », Gallimard, 1981

Marthe Robert, « La Révolution psychanalytique », Payot, 2002

                                 « Freud et la conscience juive », Calmann-Lévy, 1974

 

Jacques Lacan, « Les Ecrits techniques de Freud », Séminaire I, Seuil, 1975

               « L’Ethique de la psychanalyse », Séminaire VII, Seuil, 1986

               « Le Transfert », Séminaire VII, Seuil, 1991

Denis Vasse, dont l’enseignement (livres et séminaire) m’a permis d’inscrire en moi le sens vivant de la loi du désir, le sérieux de la question de la vérité et le sens de l’engagement d’un sujet dans sa propre parole :

 

« Le temps du désir », Paris, Le Seuil, 1997.

« Le poids du réel, la souffrance », Paris, Le Seuil, 1983.

      « L’ombilic et la voix », Paris, Le Seuil, 1974.

« Inceste et jalousie », Paris, Le Seuil, 1995.

Jean-Pierre Lebrun, « Un monde sans limite », Eres, 2009

 

Winnicott, « La nature humaine », Gallimard, 1990

                       « La Crainte de l’effondrement et autres situations cliniques », Gallimard, 1989

 

Masud Khan, « Passion, solitude et folie », Gallimard, 1985

 

Des philosophes :

Paul Ricœur qui ouvre à la dimension de promesse de la parole et a su entendre le gain de vie au cœur du deuil :

 

« Histoire et vérité », Paris, Esprit/Seuil, 1955

« Soi-même comme un autre », Paris, Le Seuil, 1990.

« Le conflit des interprétations », Paris, Le Seuil, 1969.

« Parcours de la reconnaissance », Paris, Stock, 2004.

« Le mal », Genève, Labor et Fides, 2004.

Et d’autres :

Martin Buber, « La Foi des prophètes », Albin Michel, 2003

Giuseppe Capograssi, « Introduction à la vie éthique », Conférence, 2012

Jean-Louis Chédin, « La Condition subjective – Le sujet entre crise et renouveau », Vrin, 1997

Jean-Louis Chrétien, « Saint Augustin et les actes de parole », PUF, 2002

                                           « L’Arche de la parole », PUF, 1998

Vladimir Jankélévitch, « Quelque part dans l’inachevé », Gallimard, 1978

                                                « Sources », Seuil, 1984

                                                « L’Imprescriptible », Seuil, 1986

                                                « Le Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien », Seuil, 1980

Louis Lavelle, « La parole et l’écriture », Le Félin, 2005

Stephan Mosès, « Le sacrifice d’Abraham », Desclée de Brouwer, 2002

Jean-Luc Nancy, « L’Intrus », Galilée, 2000

                                  « Corpus », Métailié, 2000

André Neher, « L’exil de la parole – du silence biblique au silence d’Auschwitz », Seuil, 1970

Emmanuel Lévinas, « Difficile liberté », Albin Michel, 1976

                                          « Ethique et infini », Fayard, 1982

Myriam Revault d’Allonnes, « L’homme compassionnel », Seuil, 2008

                                                           « Le pouvoir des recommencements », Seuil, 2006

Maria Zambrano, « La confession, genre littéraire », Millon, 2007

                                      « L’homme et le divin », José Corti, 2006

 

 

Puis : un poète, rencontré non seulement dans ses livres sur la parole poétique mais aussi en chair et en os dans son bureau un jour de Mai 2013. Yves Bonnefoy ouvrit une porte, me permettant de mieux comprendre la singularité de ma recherche, me faisant découvrir l’hétérogénéité entre expérience psychanalytique et expérience poétique :

Yves Bonnefoy, « Le siècle où la parole a été victime », Paris, Mercure de France, 2010.

                                  « L’autre langue à portée de voix », Seuil, 2013 (livre offert et dédicacé par son auteur).

                                   « L’Inachevable », Albin Michel, 2010

                                   « Sous le signe de Baudelaire », Gallimard, 2011

 

C’est alors que j’ai pu entrer dans la pensée de penseurs existentiels, posant une limite à la raison pour entendre le cri du cœur du sujet en quête de sa singularité. Des penseurs d’une formidable actualité.

 

Des penseurs existentiels :

Sören Kierkegaard, qui qualifia lui-même sa philosophie de philosophie existentielle en opposition à la philosophie spéculative de Hegel. Il est celui qui se tourne en dernier ressort vers l’homme lorsqu’il appelle à l’aide De profundis, Job, ce « penseur privé » :

 

 « La vie mortelle » ou « Le traité du désespoir », Gallimard, 1949.

             « Il faut douter de tout », Rivages, 1997

             « La Reprise », Flammarion, 1990

             « L’éternité dans le temps », Les Bergers et les Mages

             « Les Miettes philosophiques », Seuil 1967

             « Post-scriptum aux Miettes philosophiques », Gallimard, 1949

            « Des pensées qui attaquent dans le dos », Delachaux et Niestlé, 1971

            « Point de vue explicatif de mon œuvre », 1940

 

Léon Chestov :

« Les grandes veilles », Lausanne, L’Age d’Homme, 1985

« Sur la balance de Job », Paris, Flammarion, 1971

« Athènes et Jérusalem », Paris, Le Bruit du Temps, 2011

           « La philosophie de la tragédie – Dostoïevski et Nietzsche », Flammarion, 1966

            « Sur les confins de la vie », Flammarion, 1966

            « Kierkegaard et la philosophie existentielle », Vrin, 2006

            « Le Pouvoir des clés, Le Bruit du Temps, 2010

 

Benjamin Fondane, philosophe

             « Baudelaire et l’expérience du gouffre », Paris, Seghers, 1972

 « Rimbaud le voyou », Paris, Non Lieu, 2010

 « Le lundi existentiel », 2ditions du Rocher, 1990

 « La Conscience malheureuse », Verdier, 2013

 site htpp://www.fondane.com

 

 

Des poètes :

Charles Baudelaire, œuvres complètes

Benjamin Fondane, « Le Mal des fantômes », Verdier.

                                          « Poèmes retrouvés 1925-1944 », Parole et Silence, 2013

Paul Celan, « Rose de personne », « Le Méridien », « Entretien dans la montagne. »

René Char, « Commune présence », Gallimard, 1978

Paul Eluard, « Les mains libres », Gallimard, 1947

Rainer Maria Rilke, « Les Elégies de Duino », « Les sonnets à Orphée », Seuil, 2006

                                             « Chant de l’amour et de la mort ».

William Yeats, « La Rose et autres poèmes », William Blake and Co, 1998

 

 

Des écrivains :

David Grossman,  « L’enfant zigzag », Seuil, 1998

                                     « J’écoute avec mon corps », Seuil, 2005

                                     « Les exilés de la terre promise », Seuil, 1995

                                     « Une femme fuyant l’annonce », Seuil, 2011

Pascal Quignard, « Les désarçonnés », Grasset, 2012

                                    «  Tous les matins du monde », Gallimard, 2010

Lou Andreas-Salomé, « Ma vie », PUF, 1977

 

 

Et bien d’autres auteurs, lus ou à lire, sans lesquels je ne pourrais avancer, et rester fidèle à l’écoute du désir d’un sujet. Notre société est paradoxale, offrant à chacun la possibilité de sa liberté d’être soi et en même temps, le laissant seul, car elle se méprend sur qui se cherche.